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Le dirigeant et le SI sur soi

Dirigeant, le SI sur soi en permanence, must ou nécessité ?

Le rythme du monde s’accélère, c’est un fait. Il suffit de regarder un match de foot ou de rugby, un film des années 70 voire 80 pour s’en persuader si nécessaire. Rester compétitif implique donc d’avoir accès à l’information dans les meilleurs délais.

Avant de parler de mobilité, de s’attarder sur les mérites comparés d’un Ipad, d’une tablette Android, d’un PC portable ou d’un Smartphone, de montrer mes crocs acérés en tout bon DSI que je m’efforce d’être en parlant de sécurité, j’aimerais d’abord que l’on se pose la question du Système d’Information du dirigeant.

Avant de glisser son Système d’Information dans sa poche, nous avons peut-être intérêt à mieux l’appréhender, histoire de vérifier qu’il va y rentrer sans trop la déformer. En l’occurrence, son costume étant neuf et de bonne facture notre dirigeant nous en voudrait!

Du dirigeant de PME, voire de TPE, au dirigeant du SBF120, si tous nos dirigeants d’entreprise ont quelque chose en commun, c’est un usage continu de la messagerie et du téléphone. Ouf ! Pour le costume ça ira, pour la sécurité, c’est une autre histoire… Ne vous  inquiétez pas, nous aborderons ce sujet dans cet article.

En deuxième point, notre Dirigeant a besoin de rester connecté sur le monde, plus précisément sur son écosystème. Internet, les réseaux sociaux professionnels sont ce lien, et constituent le canal d’accès aux informations sectorielles, financières, marketing et concurrentielles qui nourrissent notre  Dirigeant.

 

Ces 2 composants de base étant bien intégrés, la suite se complique !

Etudions le cas du dirigeant dont l’interface homme machine s’appelle Caroline ou Nathalie : elle propose une fonction de reconnaissance vocale inégalable de 8h du matin à 22h ; elle sait apporter avec diligence une réponse à toutes les questions ou presque : du CA du jour à la balance âgée, en passant par la dernière version du compte rendu D’AG.

Notre problème n’est plus le Système d’Information dans la poche de notre Dirigeant, mais le Système d’Information de son assistante. Il reste donc entier.

Basculons sur une autre typologie de dirigeant : le « Geek » voire le « globe-trotter soumis au Jet Lag ». Le point clé, pour le dirigeant en règle générale, est rarement de lui donner accès aux systèmes transactionnels de l’entreprise (ERP et autres logiciels de gestion) mais, plus souvent, de lui donner accès aux systèmes décisionnels de l’entreprise. Sauf pour le dirigeant en perpétuel déplacement, nous sommes dans la délivrance de l’information anti anxiogène : CA quotidien, nombre de commandes…  Mais ce type d’application ne doit pas être dévalorisée, elle crée plus de valeur qu’une dose de Maalox ! Elle est en effet un lien direct, constant, entre le dirigeant et les équipes opérationnelles, c’est-à-dire les acteurs responsables des chiffres délivrés.

Le perpétuel globe-trotter devra en outre avoir accès aux ressources de types fichiers bureautiques (comptes-rendus, budgets, présentations…)

Les Device Mobiles !

Le device mobile : Smartphone, tablette, ou PC ultra portable est, dans ce cadre, le réceptacle d’une somme d’informations particulièrement sensibles. En effet, ces informations sont, par définition, structurées pour être directement interprétables et riches. Elles sont signifiantes par rapport à la stratégie de l’entreprise. Tout point d’accès à une information sensible devant être sécurisé, le DSI se doit d’être particulièrement vigilant, quand le Dirigeant peut être parfois particulièrement négligeant.

En informatique, la sécurité est trop souvent synonyme de contraintes. Changements de mots de passes, mots de passes complexes et multiples, architectures absconses, VPN, proxys, certificats, sont autant de contraintes que notre Dirigeant exècre ou que nos devices ignorent parfois. Cryptage et réinitialisation à distance ou sur double mot de passe après une période d’inactivité sont les  précautions minimales à prendre.

 

Mon Business doit-il être dépendant de mon système d’information ?

A l’époque où être connecté n’est plus un must mais une simple commodité, cette question peut paraître hors sujet. Ne pas être connecté, voilà qui peut être vu comme un must, pratiquement inaccessible. Mon business le permet-il ?

Pour pouvoir se targuer de cette indépendance, mon activité ne peut naturellement relever de l’e-business. Quid du BtoB ? A la trappe également : les clients risquent de m’orienter vers des solutions électroniques et dématérialisées qu’il sera difficile de rejeter parce qu’eux-mêmes fonctionnent ainsi. D’une manière générale, l’écosystème de mon activité : ses fournisseurs, banques, administrations, voire collaborateurs, vont me pousser à fournir des données. De fil en aiguille, cela me conduira inexorablement à les gérer en tant que telles, donc à être connecté. A ce stade, la barrière est souvent économique (le coût de l’automatisation de ma PME en croissance). Pour avoir une chance d’être indépendant de mon Système d’Information, mon business devrait donc être local, peu développé, limité à une activité de proximité, où pratiquement aucun écart temporel n’est constaté entre les flux de matières et les flux financiers et d’information, sauf évènement exceptionnel (la maison ne fait pas crédit). Ainsi, il y aurait bien des informations, mais elles ne seraient pas systématisées et ne persisteraient pas. D’un point de vue formel, elles ne constitueraient pas des données. En résumé, une activité locale, en BtoC, de petite envergure serait donc la condition première de l’indépendance au Système d’Information. Ce type de business ressemblant fort à celui de la boutique du coin, nous choisirons désormais cette dénomination.

La dépendance au SI se soigne !

Pour maintenir cette indépendance, la boutique du coin choisit ses fournisseurs critiques avec une attention particulière quant aux modalités d’échanges  : commandes, livraisons, règlements. Elle devra sûrement les systématiser un peu, mais en s’appuyant sur d’anciennes technologies (face-à-face, téléphone, papier, crayon) comme moteur de son Système d’Information ou comme alternatives à une informatique rudimentaire. En fait, elle tentera de contrôler sa dépendance au Système d’Information pour préserver son essence.

Tout comme la boutique du coin, le DSI (ou le Directeur Informatique / le Responsable Informatique suivant la taille de la structure) a la responsabilité d’organiser et de contrôler cette dépendance lorsqu’elle est bien installée, dans une entreprise qui peut-être a été la boutique du coin, mais n’a pu le rester.

A un premier niveau, le DSI doit assurer la continuité du service du Système d’Information, alignée sur l’activité. Ainsi, le Plan de Continuité de l’Activité, ou son pendant en cas de sinistre, le Plan de Reprise d’Activité s’imposeront au DSI qui devra être le maître d’œuvre de la continuité/reprise du Système d’Information. Les solutions doivent être alignées sur une situation de crise pour l’organisation, mettant en péril l’activité, quand ce n’est pas toute l’entreprise. Pas d’improvisation : il s’agit au contraire d’une élaboration détaillée qui doit synchroniser dans l’urgence une activité en mode dégradée et les seuls composants « vitaux » du Système d’Information: le temps et les coûts sont les contraintes.

Limiter la dépendance consiste aussi à cartographier les quartiers du Système d’Information selon la criticité des fonctions de l’entreprise qu’ils supportent, et d’évaluer pour chacune d’elles le degré de dépendance optimal : couplage plus ou moins fort des modules aux plans fonctionnels et techniques, localisation géographique des composants du Système d’Information, recours à l’externalisation, etc. Autant de caractéristiques à ajuster pour améliorer la capacité de fonctionnement en mode restreint ou dégradé.

Dans le cadre du PRA, une partie du succès tient aux procédures qui doivent se substituer au Système d’Information opérationnel lorsque celui-ci est défaillant, jusqu’à ce que le Système d’Information puisse reprendre le relais en mode « secours » ou « reprise ». Systématiser de telles procédures dès la conception des systèmes peut s’avérer pertinent même hors PRA : les indisponibilités partielles de fonctions du Système d’Information peuvent en tirer parti et apparaître comme de simples incidents avec un impact mesuré sur l’activité. Toutefois, les composants du Système d’Information ont pour certains leur criticité propre, indépendante des fonctions de l’entreprise. La transversalité des infrastructures, comme le réseau et les outils de productivité, au premier rang desquels la messagerie, en sont l’exemple. Ils sont devenus de simples commodités, et ils sont fortement couplés à l’ensemble du Système d’Information.

Soigner sa dépendance est un processus lui-même continu : l’entreprise évolue dans ses pratiques, il faut faire évoluer le PCA/PRA. Son efficacité doit être démontrée : il faut le tester, en mode simulation.

N’oublions pas que son coût est en balance avec le coût du risque, dont la probabilité généralement faible ne plaide pas pour donner carte blanche et chèque en blanc au DSI.

DSI et PME : l’équation improbable !

Comment avoir du Retour sur investissement ?

L’équation coût du DSI/ service rendu par le DSI est particulièrement difficile à résoudre pour la PME et la MGE.

Les paramètres clés de l’équation sont :

–     «  Pouvoir le financer » : Il faut proposer un salaire en phase avec le marché : soit un salaire de 70K€ à, … 120K€.

–     « Trouver la ressource » : il faut maîtriser les canaux, les réseaux, avoir la capacité à évaluer la compétence.

–     « Etre attractif » : Il faut  disposer d’un projet et savoir le présenter

–     « Le fidéliser » : le DSI a besoin d’exprimer sa valeur ajoutée chaque jour passé dans l’entreprise. En dehors des périodes de changements majeurs de SI (tous les 10 à 14 ans), son utilité réelle pour la PME MGE est loin de représenter un temps plein. Le contre-emploi, sur des tâches à faible valeur ajoutée, est mal vécu et mal perçu.

–     « Maintenir et développer sa compétence » Afin de continuer à jouer pleinement son rôle, le DSI doit constamment être informé et formé sur les nouvelles technologies et les nouvelles solutions disponibles sur le marché. Il doit savoir identifier en quoi elles sont un facteur de gain de compétitivité, en quoi elles ne sont que du domaine du gadget, et enfin savoir comment les mettre en œuvre.

Au-delà de la simple masse salariale, le risque et les coûts liés au recrutement, à la rentabilisation de la ressource (pour qu’il soit rentabilisé, il faut qu’il soit occupé, ce qui sous-entend de nouveaux projets et donc de nouveaux investissements) et au maintien de la compétence ne sont pas à négliger et viennent renchérir un coût initial déjà très élevé.

 

Mesure de la performance et gestion des compétences ?

Le Directeur Informatique (ou responsable informatique dans les petites structures) est un acteur singulier. Il est responsable d’un métier de l’entreprise qu’il est seul à maîtriser. Sa performance est de ce fait difficilement mesurable de façon objective. Les indicateurs de performance d’une Direction Informatique sont peu connus, difficiles à mettre en œuvre et peu de benchmarks existent sur le sujet !

L’appréciation et la mesure de la performance et des compétences sur lesquelles elle se construit sont délicates. En effet, le supérieur hiérarchique du Directeur Informatique manque nécessairement de légitimité pour challenger ce dernier sur ses compétences techniques et donc pour apprécier sa performance.

Mais au-delà des compétences déjà acquises, il est également compliqué de gérer l’évolution de ses compétences. Quelles sont les connaissances à développer ? Quelles sont les techniques et les offres qui vont devenir clé pour l’entreprise ?

Bien souvent, le Directeur Informatique fait soit l’impasse sur la veille technologique et sa propre formation, soit se laisse guider par ses goûts ou ses envies.

 

Gestion de la carrière du DSI en PME ?

Comme nous l’avons partagé dans les paragraphes précédents, le Directeur Informatique est un cadre « singulier » dans l’entreprise. Rares sont ceux, à la différence des Directeurs commerciaux, des Directeurs Financiers … qui sont promus à la Direction d’une filiale ou à la Direction Générale de l’entreprise.

La PME est donc sensée grossir, devenir un groupe, faire des acquisitions synonymes de nouveaux défis sur le plan du système d’informations, pour offrir à son Directeur informatique une évolution de carrière.

Un schéma certes passionnant, mais pas toujours réaliste.

Notre Directeur informatique va alors, soit se lasser et partir, il faudra alors reconstruire, soit se scléroser et perdre de sa valeur, soit être tenté de lancer des projets pas forcément en phase avec les besoins de l’entreprise.

Le DSI à temps partagé est-il la solution pour développer mon entreprise ?

Le Directeur des Systèmes d’Information (DSI), ou Responsable Informatique (suivant la taille de l’Organisation), est celui qui est en charge  de structurer  l’information de la Société. Il modélise les processus de l’entreprise, et fait en sorte de leur donner une réalité dans le Système d’Information.

Il permet ainsi d’interconnecter les personnes entre elles. Cette interconnexion est une nécessité permanente. La modélisation des processus, en revanche, nécessite-t-elle un travail à plein temps ou une action ponctuelle de mise en place et de suivi ?

Le Besoin dans les entreprises du Mid Market

Beaucoup d’entreprises employant entre 20 et 500 collaborateurs ne disposent de projets informatiques suffisamment importants ou nombreux pour mobiliser en permanence une ressource. Le recours à un collaborateur à temps partagé, ajustable dans son implication avec le rythme des projets, est LA SOLUTION.

Le Besoin dans les plus grosses structures

Pour les plus grosses structures la question se pose différemment : leur volume de projets exige l’implication pleine et entière d’un Directeur des Systèmes d’Information.  En revanche, il arrive souvent que le DSI ait lui-même un besoin ponctuel d’expertise métier ou de gestion de projet spécifique, sur une équipe ou une période donnée. Dans ce cas de figure, un « temps partagé », positionné comme adjoint est là encore une vraie solution.

Le temps partagé : pour avoir un temps d’avance ?

De plus en plus d’entreprises adoptent le temps partagé et ce n’est pas un hasard. Les méthodes sont les mêmes que celles qui conduisent à faire émerger une stratégie, à l’aligner sur les métiers, à la décliner en tactique puis à la mettre en œuvre. Le DSI à temps partagé maîtrise cette technique. Il a tout loisir de se concentrer sur la spécificité de son partenaire et à adapter son savoir aux besoins de son interlocuteur.

Le management d’une entreprise, spécialement lorsque celle-ci se développe, gagne toujours à bénéficier de l’expertise d’une personne ouverte menant de front plus d’une expérience en même temps. L’effet de capitalisation est majeur.

Déménager mon entreprise, pas facile … mais mon Responsable Informatique est là !

Vous avez enfin trouvé le local de vos rêves, de la lumière, de l’espace, un quartier sympathique, des collaborateurs avec de grands sourires à la découverte des lieux. On vide rapidement les cartons, on branche les ordinateurs : il faut rattraper le retard pris ces derniers jours à faire ce déménagement.

Pas de connexion réseau, cela commence bien. Un petit contrôle du câble réseau, tout semble correct, bon j’essaye la prise voisine en débranchant mon téléphone, de toute façon il ne marche pas, on a oublié qu’il fallait quelques jours pour récupérer nos numéros. C’est bon, je retrouve mon répertoire, mon réseau, l’imprimante sera opérationnelle dans la matinée. Vérifions la trésorerie sur le site de la banque, tiens,  pas de connexion… Ma gestion commerciale… arg… Pas de connexion internet… J’appelle mon fournisseur, avec mon téléphone portable, toujours ce téléphone de bureau qui ne marche pas…

Comment çà !!??  Ma connexion internet ne sera opérationnelle que dans 2 semaines !!

Le déménagement d’une entreprise : peu de dirigeants ont conscience des difficultés qu’ils vont rencontrer. L’événement n’est pas courant, les difficultés sont oubliées après quelques mois d’activité mais, sur le moment, vous auriez apprécié quelques conseils pour éviter une perte d’activité.

Je vous propose une série d’articles traitant de ce sujet.

Ce premier article se propose :

  • De dégager les points de vigilance à observer lors du choix ou de l’aménagement du nouveau local de la structure,
  • De proposer une liste d’actions et des coûts moyens à mettre en œuvre.

Premier conseil  : choisir un local accompagné de son Responsable Informatique.Il se posera notamment ces questions :

  • Est-ce qu’il y a des prises informatiques ? En nombre suffisant ? Est-ce qu’elles fonctionnent ?
  • Où sera placée la baie de brassage ? Où seront rangés les serveurs ?
  • Est-ce que le local peut-être sécurisé ?
  • Est-ce que l’entreprise pourra disposer d’une bonne connexion Internet ?

Les équipements réseaux passifs : les prises, les câbles, la baie de brassage.

Préambule : Il n’est pas raisonnable de baser l’infrastructure de son réseau uniquement sur la technologie Wifi, il faut la réserver aux personnes de passage et aux équipements mobiles Iphone, Ipad etc…

  • Il y a un risque de saturation par un trop grand nombre d’équipements connectés en même temps,
  • Il y a un risque d’encombrements des fréquences avec le voisinage,
  • Donc au final, une qualité très médiocre du débit.
  • La téléphonie sur IP nécessite un réseau câblé.

Les points de vigilance lors de l’aménagement des nouveaux locaux :

  • Chaque pièce des nouveaux locaux devra comporter au mieux deux prises informatiques par mur et de nombreuses prises électriques
  • Les câbles devront être de catégorie 5 minimum
  • Les prises devront être numérotées et identifiées au niveau de la baie de brassage qui devra se trouver dans un boîtier.
  • Une rame de prises électriques devra se trouver dans la baie de brassage.
  • La baie de brassage devra se trouver dans un espace aéré, tempéré et équipé d’un système anti-feux.
  • Un espace devra être réservé près de la baie de brassage pour contenir un ou des serveurs informatiques, un clavier, un moniteur.
  • Ce meuble devra éventuellement être fermé et ventilé si les activités dans la pièce peuvent perturber le fonctionnement du serveur (espace détente, salle de réunion, présence d’eau etc…)

Les équipements réseaux actifs : le switch, les routeurs ADSL

Au niveau de Switch réseau, il faut prendre un équipement administrable, c’est-à-dire que l’on peut superviser à distance afin de faire des diagnostics de ralentissement du réseau PC par PC.

  • Au niveau du routeur ADSL, il faut privilégier celui proposé par l’opérateur. A priori, une box Orange fera parfaitement l’affaire pour une très petite structure, un lien SDSL de 1 à 2M en plus avec une technique de lien de secours serait un plus.
  • Si la Box de l’opérateur propose le Wifi, cette solution est également à privilégier.

Deuxième conseil – Déménagez votre entreprise dans un local dont le réseau local et le lien Internet sont totalement opérationnels. Cela peut passer par de l’acquisition, si votre matériel a atteint son point d’obsolescence, ou de la location de matériel en attendant la réinstallation de votre propre matériel.

Exemple d’actions et de coûts liés: Avril 2012

Action

Coût   approximatif

Faire venir une société pour enlever tous les   matériels obsolètes dans l’ancien local
Installer un réseau informatique de catégorie   5, installer l’armoire et la baie de brassage, les prises

260 € par prise, tous compris

Installer un Switch réseau administrable

700 € pour 24 ports

Installer un lien Internet ADSL 4Mb minimum

40 € / mois

Paramétrer le Wifi. Installer une borne relais Wifi si nécessaire

100 € la borne supplémentaire

Mise en œuvre d’un onduleur pour les équipements actifs et le serveur

1000 €

Petits matériels : triplette, câbles   réseaux

Je vous propose de réagir sur cette première partie qui traite de l’infrastructure réseau, véritable squelette de votre Système d’Information. Un prochain article traitera des serveurs, des PC et des opportunités offertes par le déménagement.