FUSACQ : et le SI, il fusionne aussi ?
En chimie, à une ou deux exceptions près, un processus de fusion est endothermique. On consomme de l’énergie, pour donner plus de liberté à des molécules jusqu’alors sagement rangées dans leur état solide. Dans la vie des affaires, les attentes d’une fusion procèdent beaucoup plus d’une concentration, d’une unification, d’une massification, d’un espoir d’efficacité accrue.
Paradoxal. Pas tant que cela car de fait, l’observation physique d’une fusion de plusieurs corps donne l’impression de leur disparition, de leur concentration.
Le dessous des cartes, c’est qu’au sein même de ce nouvel état, « ça devient le bazar ». Nous éviterons toute allégorie « nucléaire » qui nous amènerait sur des terrains plus qu’incertains. Sur le plan économique, combien de fusions n’ont elles pas « oublié » les synergies promises ?